Femmes en prison et continuum des violences

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Qui sont les femmes détenues dans le système pénitentiaire français ? À quoi ressemblent leurs parcours ? 

Dans cet épisode, Natacha Chetcuti-Osorovitz, enseignante et chercheuse en sociologie à Centrale Supélec, revient sur la longue enquête qu’elle a menée dans le quartier femmes d’une prison française. Beaucoup de femmes détenues étant à la fois victimes et coupables de violences, leurs récits mettent en lumière un continuum des violences de genre.

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Des femmes violentes

un podcast à soi de Charlotte Bienaimé

« Je ne vous tue pas, je vous marque »
Parce que personne n’est à l’abri d’être privé de liberté, et que le système punitif et sécuritaire tend à se diffuser au sein de la société, Un podcast à soi revient avec une grande série consacré à la violence, à la colère, à l’articulation entre le genre et la prison.

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13 juin 2016 : « Tuerie d’Orlando : l’homophobie et la « frilosité déplacée » des médias » Metronews, Interview par Anaïs Condomines

Alors que la tuerie d’Orlando s’est déroulée dans un club LGBT et dévoile clairement une portée homophobe, la presse – française, tout du moins – a beaucoup de mal à décrire ce crime comme tel. La faute, selon sociologues et associatifs interrogés par metronews, à “une frilosité déplacée”.

Pour la sociologue Natacha Chetcuti-Osorovitz, dire que la tuerie d’Orlando est un crime anti-LGBT relève de “l’éthique journalistique”.

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Plus belle la vie : lesbien raisonnable ? Les invités de Diacritik

Un article de Stéphanie Arc et Natacha Chetcuti-Osorovitz

Société française et actualité

L’une des clés du succès exceptionnel du feuilleton repose sur la représentation de toutes les minorités sociales. Les lesbiennes y sont donc présentes. Le sont-elles au même titre que d’autres minorités sexuelles, notamment la minorité gay ?

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http://diacritik.com/2015/11/01/plus-lesbienne-la-vie/

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La lettre de L’Inshs N°37 / sept. 2015 Interview de Natacha Chetcuti-Osorovitz "Le lesbianisme et la nomination de soi"

Extrait :
Vous travaillez sur un champ peu exploité desétudes sociologiques : l’homosexualité féminine ou lesbianisme. Comment explique t-on qu’il s’agisse d’un champ d’études encore relativement méconnu ou en tout cas « à la traîne » par rapport aux travaux menés sur l’homosexualité masculine ?
Le champ académique qu’est celui des questions de genre et des sexualités n’a pas échappé aux normes sociales : il reste très « hétérocentré » et « masculino-centré ».

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